Défendre les Droits de l’enfant, sans relâche, ici et ailleurs 

A l’approche du 20 novembre, la Ville s’apprête à célébrer une nouvelle fois la signature de la Convention Internationale des droits de l’enfant en 1989.
Ce temps fort de la vie municipale aura lieu le samedi 25 novembre 2023, au gymnase Jean Jaurès. Il nous offre l’occasion de réaffirmer notre choix d’une politique volontariste ambitieuse pour faire vivre les droits de l’enfant au quotidien, et offrir à toutes les familles un environnement éducatif riche en activités et en lieux d’accueil, pour s’épanouir et réussir.

Notre engagement en faveur de l’enfance a toujours consisté à promouvoir une application effective des droits de l’enfants « ici et ailleurs », c’est-à-dire en prenant en compte la portée universelle de ces droits fondamentaux, avec la conviction que nous sommes aussi les garants, en tant que membre du réseau des « Villes Amies des enfants », de leur mise en œuvre partout à travers le monde.

De ce point de vue, il nous est impossible d’ignorer la situation de milliers d’enfants qui continuent de souffrir des conséquences de la guerre ou du manque de moyens pour l’accès à l’eau et à la nourriture, à la santé, à l’éducation, à la culture et aux loisirs.

A l’heure où des innocents sont pris pour cibles d’attaques terroristes et de bombardements indifférenciés, l’actualité tragique de ces dernières semaines au Moyen-Orient ne manque pas de nous rappeler que les populations civiles, et en premier lieu les enfants, méritent d’être protégés des conflits et des violences auxquels se livrent les fanatiques de tous bords. 

Loin de tout amalgame et de toute indignation sélective selon la nationalité des victimes, nous exigeons avec l’UNICEF un cessez-le-feu humanitaire immédiat, la protection de tous les enfants et de toutes les victimes de la guerre, ainsi que l’accès de tous aux services et produits de première nécessité, conformément au droit international humanitaire.

Texte non parvenu

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Pour un choc démocratique

Eclairage nocturne intermittent selon les quartiers de la ville.
Une communication qui oublie de mettre en avant le foisonnement des activités associatives de notre ville.
Des événements organisés en catimini, dont l’hommage national donné devant la mairie pour lesquels les élus municipaux d’opposition n’ont pas été invités. Certains ont pu voir l’invitation à la population au dernier moment, sur un réseau social…

Un nouvel équipement culturel, la Micro-Folie, dont le nom a été choisi par un cénacle réduit de personnes. Nous regrettons que n’ait pas été saisie l’opportunité de lui donner un nom d’une poétesse, d’une inventrice ou d’une femme politique qui a marqué l’histoire nationale ou locale. La très faible présence de la créativité féminine dans les dénominations des rues et espaces de notre ville est patente.

Sans cesse les capacités d’expression, d’intervention, de débats sont réduites à néant, à des commissions où la possibilité de discussion est minime, les dossiers étant déjà finalisés.

Nous sommes pourtant au croisement d’enjeux importants à la suite des émeutes de juillet, de l’accélération des effets du changement climatique, de la paupérisation d’une partie de la population, de l’enchérissement des produits de la vie courante, de la difficulté à accéder à un logement.

Pour relever ces défis, la municipalité de Champs a besoin d’un choc démocratique, de savoir écouter toutes les voix municipales, d’organiser de nouvelles instances de dialogues et non de créer des tranchées idéologiques.

Gobert, S. Maumont, E. Le Faucheux
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Bilan de mi-mandat ou l’heure de rendre des comptes.

Les campésiens attendent des élus qu'ils rendent des comptes sur la tenue de leurs engagements. Sans surprise, la majorité ne présente aucun bilan pour ce mi-mandat et pour cause !
Il est à constater qu’aucune réalisation notoire ne s’est réalisée durant ce mandat contrairement à ce qu’on veut vous faire croire.
La Mairie se vante de la création du centre aquatique, nous nous en réjouissons. Pourtant, elle n’y est pour rien puisqu’il s’agit d’un investissement de la communauté d’agglomération.
Elle prend également à son compte le centre de santé, ce besoin était attendu. Là encore, elle n’a eu aucun rôle dans ce projet dont l’origine est à l’initiative d’une association de médecins privés. Récupération, mensonges, ça suffit ! Vous avez le droit de connaitre la réalité de la situation qui est dramatique, car la mairie n’engage plus aucun projet pour notre ville dont les besoins d’investissement vont en augmentant.
La sécurité, l’attractivité et la vitalité de nos commerces sont laissés pour compte !
L’insécurité s’accroît de jours en jours, la propreté générale est insatisfaisante, les dégradations sur nos voiries se développent. Nous sommes bien loin des aspirations, des besoins et des attentes légitimes des Campésiens.
Depuis juin 2020, je mets un point d’honneur à répondre à chacune de vos sollicitations. Le véritable engagement d’un élu se fait sur le terrain, à la rencontre des citoyens. Ce que j’ai fait de nombreuses fois dans différents quartiers, à votre écoute, cherchant des solutions concrètes avec vous afin de proposer les meilleurs choix. Et je continuerai d’y travailler.

Michel COLAS et toute son équipe.
Internet : www.reinventons-champs-ensemble.fr
Facebook : Michel COLAS – Élu de Champs-sur-Marne